Le jeu ciné FRCD - 20e édition
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F.A.Q.
La fête nationale du string léopard

La semaine est maintenant close, place aux réponses et au classement...
Question 1 : Quel film ?
Réponse : Ces garçons qui venaient du Brésil (The boys from Brazil), Franklin J. Schaffner, 1978.
Proposé par Fred Loukass
Ma principale motivation pour mettre ce film dans le jeu FRCD ? La splendide actrice de l'indice 1, qualifiée de "vieille putain" dans le film par Gregory Peck et dont la face de raie m'a à tout jamais marqué ! :-) À part ça, c'est le pied côté acteurs avec James Mason et Laurence Olivier qui assurent encore une fois comme des bêtes et surtout Gregory Peck qui cabotine génialement comme jamais ! Et puis le film est passionnant et franchement inquiétant !
Question (3 points) : Indice 1 (2 points) : Indice 2 (1 point) :
Question 2 : Quel film ?
Réponse : The brother from another planet, John Sayles, 1984.
Proposé par Mister Zob
Certains ont réussi à reconnaître John Sayles et David Strathairn sur l'indice 1... c'était donc pas si dur ! :-) J'aime beaucoup le cinoche de John Sayles... et cette fable, très pertinente et pourtant farfelue, est vraiment très réjouissante.
Question (3 points) : Indice 1 (2 points) : Indice 2 (1 point) :
Question 3 : Quel film ?
Réponse : La renarde (Gone to earth), Michael Powell & Emeric Pressburger, 1950.
Proposé par Xtof
Dans la campagne anglaise, une gitane affole deux hommes aux antipodes – un hobereau Don Juan et un pasteur pur comme l’eau de source. Au départ, simple véhicule pour Jennifer Jones voulu par son "mentor" David O’Selznick, « La renarde » est certainement le dernier grand film du tandem Michael Powell et Emeric Pressburger. Sous la caméra du premier, le mélo victorien devient une ode païenne et hédoniste très peu digérable par Hollywood. Jennifer Jones chantant sur fond de ciel ou invoquant les esprits rayonne d’une sensualité qui fait oublier l’un peu surfait « Duel au soleil ». Selznick détesta évidemment le film ; Powell raconte dans son autobiographie que plusieurs cinéastes contactés par le producteur pour retourner des scènes – notamment Von Sternberg – refusèrent tellement ils aimaient le film. Difficile en effet d’oublier certaines scènes dont le dépucelage champêtre et métaphorique de Hazel – l’ombre du hobereau qui passe sur son corps tandis qu’il vient vers elle, les fleurs qu’elle fait tomber et qu’il piétine. La fin du film abrupte à tous sens achoppe sur une réplique d’un humour tellement noir qu’il ne laisse pas de surprendre. D’une beauté sauvage et absolue.
Question (3 points) : Indice 1 (2 points) : Indice 2 (1 point) :
Question 4 : Quel film ?
Réponse : Solo, Jean-Pierre Mocky, 1970.
Proposé par Fred Loukass
Ahhhhhhhh un Mocky de la grande époque ! Un beau suspense et une magnifique musique de Moustaki !
Question (3 points) : Indice 1 (2 points) : Indice 2 (1 point) :
Question 5 : Quel film ?
Réponse : Showgirls, Paul Verhoeven, 1995.
Proposé par Xtof
Pas revu depuis longtemps, « Showgirls » laisse un souvenir assez rare, celui d’une frontalité sans critique ni distance avec son sujet – la Vulgarité et sa Mecque américaine. Aucun errement scorsesien dans la vision que Verhoeven a de Las Vegas ; la ville du jeu n’est pas ici le miroir aux alouettes – et partant le lieu de la Rédemption - que l’italo-américain met en scène dans son pâteux/christique « Casino ». Juste un endroit où des filles bien dotées par la nature (ou leur chirurgien) peuvent exhiber leurs charmes et creuser leur trou. Comme il faut bien une intrigue, Verhoeven reprend mollement le pitch d’ « All about Eve » mais l’intérêt est ailleurs. La success-story ne vaut que pour elle-même, rien de plus. Ce refus de porter un jugement sur ce qu’il montre nous rappellerait presque « Les bonnes femmes » de Chabrol, film avec qui il partagea un accueil à la kalashnikov. C’est qu’ici comme ailleurs, la réalité a mauvaise presse. Les deux showgirls n’ont aucune transcendance en magasin et leur destin se joue sur la prononciation d’un nom de couturier. Le Toc est leur horizon ultime pour la raison bien simple que le Vrai n’existe pas. Grand film.
Question (3 points) : Indice 1 (2 points) : Indice 2 (1 point) :
Question 6 : Quel film ?
Réponse : Hantise (Gaslight), George Cukor, 1944.
Proposé par Mister Zob
Je préfère ce remake à l'original de Thorold Dickinson. L'histoire est plus développée et, même si j'adore Anton Walbrook, je trouve le casting plus réussi. La belle Ingrid est étonnante et Charles Boyer est tout simplement éblouissant de cruauté et de sadisme ! Les images, en outre, sont superbes et contribuent à générer une ambiance comme je les aime.
Question (3 points) : Indice 1 (2 points) : Indice 2 (1 point) :
Question 7 : Quel film ?
Réponse : La vallée des plaisirs / Orgissimo (Beyond the Valley of the Dolls), Russ Meyer, 1970.
Proposé par Fred Loukass
Le choc ! Jamais je ne remercierai assez mon ami F. (ne dévoilons pas son nom, cela pourrait nuire à ma réputation) qui m'a prêté ce film alors que je préparais le jeu ! Un film qui avait choqué l'Amérique et qui contient des moments de pure folie (surtout le final inoubliable) ! Franchement ça donne envie de redécouvrir Russ Meyer (et pas que pour ses pétasses à gros seins, à l'intérêt somme toute limité) ;-)
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Question 8 : Quel film ?
Réponse : Rapt, Dimitri Kirsanoff, 1933.
Proposé par Xtof
Parfois un film s’impose à la mémoire en une poignée de plans. « Rapt » de Dimitri Kirsanoff, réalisé dans l’effervescence des premiers parlants, est ainsi une curieuse réussite si l’on considère le peu d’intérêt du roman de Ramuz dont il est adapté. Outre le feu d’artifice sonore déployé par les deux Arthur Honegger et Hoérée, quelques scènes et images sortent du lot. C’est d’abord une étonnante toilette matinale avec frottage de seins en profil perdu. Un peu plus tard, Dita Parlo, icône charnelle que le film pose sur un piédestal, se voit courtisée par un idiot du village qui ne trouve rien de mieux que de lui glisser la main sous la jupe. Toute la scène est rythmée par le remplissage d’un broc laissé sous une fontaine et qui déborde à gros bouillons. Le film culmine dans une séquence finale d’anthologie. Prévenue d’un drame imminent, Nadia Sibirskïa se met à courir comme une folle, la caméra collée à elle enregistre les saccades de sa course, donnant une vertigineuse impression de sur-place. Le plan est tellement beau que Kirsanoff le reprend deux fois avant de soudain se détacher de son actrice qui s’écroule sur la route. Le modèle probable de la très marquante course finale du « Mauvais sang » de Carax.
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Question 9 : Quel film ?
Réponse : Institut Benjamenta (Institute Benjamenta), Stephen & Timothy Quay, 1995.
Proposé par Xtof
Cinématographiquement parlant, l’inadaptable est une denrée réputée qui permet de se fourvoyer avec les honneurs tout en imposant une aura de cinéaste risque-tout. Paradoxe amusant car le cinéma enregistre ainsi la défaite d’un metteur en scène face à un imaginaire autrement plus puissant – Melville, Proust, Joyce, Cervantes pour ne citer qu’eux. Adapter « L’Institut Benjamenta » du capital Robert Walser est d’une difficulté tout autre : comment restituer la complexité du héros walsérien, son désir farouche d’insignifiance ? Que faire de la simplicité étincelante d’une prose partagée entre drôlerie et tragique ? Les frères Quay ont choisi – et bien choisi – de rendre les creux du texte et l’atmosphère de conte qui irrigue les non-aventures de l’élève-domestique Jakob von Gunten. Gottfried John échappé de Fassbinder compose un ogre à la douceur ambiguë tandis que Alice Kruge - Blanche-Neige à la blondeur fatale - s’étiole sous les désirs inavoués. Illuminé par le sublime noir et blanc de Nicholas Knowland – un concentré des plus beaux Von Sternberg, Welles et Cocteau - l’Institut des frères Quay devient le décor d’un capiteux rêve érotique où rien ne sera consommé. Pénétrant dans les appartements privés de sa maîtresse (au sens scolaire), le beau Mark Rylance, prince sans royaume ni épreuves, s’étonne : "au lieu d’un mystère, il n’y avait qu’un poisson rouge". Définitivement film (et roman) de chevet.
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Question 10 : Quel film ?
Réponse : Apportez-moi la tête d'Alfredo Garcia (Bring me the head of Alfredo Garcia), Sam Peckinpah, 1974.
Proposé par Mister Zob
Je pourrais parler de cet immense film pendant des heures... du coup je sais pas trop par où commencer ! Benny (Warren Oates, magnifique) est un perdant irrécupérable qui s'improvise chasseur de primes pour un contrat, a priori, facile. Convaincu qu'il va enfin pouvoir tourner le dos à sa triste existence et prendre un nouveau départ, il emmène avec lui ce qu'il a de plus cher : Elita (Isela Vega). Mais ce road-movie morbide et tragique ne pouvait bien évidemment pas se dérouler comme Benny l'espérait. Peckinpah nous offre une fois de plus une œuvre profondément désespérée et violente qui culmine lors d'une séquence mythique, dans le cimetière, durant laquelle le film flirte alors avec le fantastique. Et comme souvent chez le grand Sam, l'œuvre est bien plus profonde et complexe que ce qu'elle laisse entrevoir lors d'une première vision. Les thèmes abordés sont nombreux et, même si certains sont familiers, on ne tombe jamais dans la "redite" (nous avons notamment droit, après « Cable Hogue », « Les chiens de paille » et « Guet-apens », à un nouveau regard très pertinent sur le couple). 100% zob-culte.
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Question 11 : Quel film ?
Réponse : Les trois visages de la peur (I tre volti della paura), Mario Bava, 1963.
Proposé par Mister Zob
Énorme film d'un des véritables magiciens du 7e art. En trois sketches, l'immense Mario Bava donne toute la mesure de son talent, pour le plus grand plaisir des amateurs de frissons. La 1ère image était bien entendu extraite de « La goutte d'eau », véritable concentré de terreur pure dont les images marquent à jamais celui qui les a vues. « Les Wurdalaks » (indice 1) est une perle de "film de monstre" (façon Universal) où Bava, comme souvent, prend des libertés en nous offrant une histoire de vampires sans canines proéminentes ni capes noires ou cercueils dans des cryptes. Enfin, « Le téléphone » (avec Michèle Mercier, indice 2) pose les bases d'un genre qui doit tout à Bava : le giallo. Là encore, les audaces de son créateur donnent à ce sketch une saveur supplémentaire (cf. les sous-entendus lesbiens) et un côté avant-gardiste indéniable (n'est-ce pas, monsieur Wes Craven ?).
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Question 12 : Quel film ?
Réponse : Charles mort ou vif, Alain Tanner, 1969.
Proposé par Xtof
Dans la catégorie très réduite de mes héros fictifs personnels figure Charles Dé, l’industriel en rupture de ban qu’Alain Tanner filma dans son premier film au titre inégalé : « Charles mort ou vif ». Charles - Carlo comme l’appelle son ami Paul - est interprété par François Simon, acteur de théâtre genevois qui se trouvait aussi être le fils de Michel. Avec son beau visage d’oiseau triste, sa voix un peu lasse, il livre une composition extraordinaire jouant à la fois le personnage et la critique du personnage. Charles n’est pas qu’un philosophe qui à l’automne de sa vie décide de vivre enfin ses convictions, c’est aussi un pauvre hère plus ou moins alcoolique et sans désir, complètement vidé par son impuissance à changer la société ou plus simplement lui-même (quoique…). François Simon joua chez Chéreau, Rosi, Goretta et Jeanne Moreau, apportant toujours à ses rôles ce discret vague à l’âme qui est l’élégance des grands acteurs. Il reste l’inoubliable Charles, cette menace de l’ordre établi qu’il faudra bien traiter dans une fin féroce et narquoise. Mais comme le dit l’ultime carton du film de Tanner, "rira bien qui rira le dernier".
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Question 13 : Quel film ?
Réponse : Les aventuriers de l'arche perdue (Raiders of the lost ark), Steven Spielberg, 1981.
Proposé par Fred Loukass
Incroyable mais vrai ! Le film le plus célèbre de Spielberg n'avait jamais été proposé au jeu FRCD !!! La monumentale erreur est réparée ! Par contre, quasiment tous les joueurs l'ont reconnu immédiatement ! Allez me trouver, vous, une image de ce film pas identifiable du premier coup d’œil !!!!! Je ne vous dirais pas que c'est le meilleur segment de la trilogie puisque que chacun a son avis et qu'il y aura toujours un blaireau pour dire que le 2 est meilleur (pfffff il est même beaucoup moins bien que le 3).
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Question 14 : Quel film ?
Réponse : Le sang des innocents (Non ho sonno), Dario Argento, 2001.
Proposé par Mister Zob
C'était la musique qui rythme le meurtre dans le train ! Un des meilleurs morceaux des Goblins depuis longtemps pour une scène jouissive où Argento retrouve sa maestria de jadis. Le film en lui-même n'est pas ce que Dario a fait de mieux, mais il reste très agréable pour les amateurs du genre... et les meurtres sont vraiment réussis.
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Question 15 : Quel film ?
Réponse : Récréations, Claire Simon, 1998.
Proposé par Xtof
Tout d’abord levons un doute sur l’identité du mystérieux récitant qui prononce la phrase de Spinoza : "l’impuissance de l’homme à gouverner ses sentiments, je l’appelle servitude" – il s’agit de François Simon (cf indice 1 de la question 12), notoirement acteur et suisse. D’ingouvernabilité, il est donc question dans « Récréations ». Loin des fictions joliettes qui exaltent en l’enfant une adorable et inoffensive créature, Claire Simon les montre au naturel dans une cour de maternelle, non encore affublés du vernis social qui fera d’eux des adultes intégrés. Soit des pervers polymorphes chers à Freud suivant leurs pulsions diverses à l’instant où elles apparaissent. D’emblée, le film surprend par son typage soutenu – violents et victimes – et ses exactions diverses. Zone de non-droit absolue, la cour devient un espace d’apprentissage des passions, apprentissage qui culmine avec la bouleversante séquence où la petite fille qui n’ose pas sauter par dessus le banc est narguée et rejetée par la presque totalité de ses camarades. Le moment où elle saute enfin, figée par la caméra de Claire Simon, est l’une des plus belles victoires qu’on ait vues au cinéma.
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Question 16 : Quel film ?
Réponse : Le narcisse noir (Black narcissus), Michael Powell & Emeric Pressburger, 1947.
Proposé par Xtof
Ce qu’il y a d’extraordinaire dans « Le narcisse noir » ne tient heureusement pas en quelques lignes. Michael Powell et Emeric Pressburger ont transcendé un matériau pas forcément exaltant et fait de cette histoire de nonnes expatriées dans l’Himalaya un opéra visuel fastueux exsudant un érotisme proprement délirant. La dernière demi-heure - pour laquelle je donnerais tout De Palma - est d’une folie, d’une invention inégalée. Ainsi le surgissement de Sister Ruth en tenue de ville devant sa supérieure me parût à la première vision un choc insensé dû en grande part au génie de Jack Cardiff (les plus beaux rouges de TOUT le cinéma sont dans les films qu’il a éclairés pour Powell et Pressburger). Hitchcock a pillé sans vergogne les dix dernières minutes du « Narcisse » pour la fin de « Vertigo » – ce film inopérant où un James Stewart aussi séduisant qu’une pelle à tarte essaie de nous faire croire, les mâchoires entrouvertes, qu’il est un nécrophile qui s’ignore. Si la folie amoureuse existe à l’état pur sur un écran, ce n’est pas dans ces sueurs tièdes qu’il faut la chercher mais bien dans « Le narcisse noir » où passion et démence, comme souvent chez Powell, feront tomber de haut. Mais en tout cas pas le spectateur qui, pendant près de deux heures, aura savouré ce que le cinéma offre de plus enivrant. À mes yeux, le plus beau film du monde.
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Question 17 : Quel film ?
Réponse : Keoma, Enzo G. Castellari, 1976.
Proposé par Mister Zob
Un sacré western spaghetti et sans doute le meilleur film d'Enzo G. Castellari ! Une œuvre morbide, très allégorique, qui transcende un genre dit "populaire".
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Question 18 : Quel film ?
Réponse : Abyss (The abyss), James Cameron, 1989.
Proposé par Fred Loukass
Incroyable mais vrai ! Le meilleur film de James Cameron n'avait jamais été proposé au jeu FRCD ! Y a pas une chose que je n'aime pas dans ce film ! Même la fin jugée cucul la praline à l'époque, me ferait presque verser ma petite larme aujourd'hui ! Et je ne vous dis pas non plus dans quel état je suis lorsque Ed Harris fait du bouche à bouche à sa femme durant 1/4 d'heure !!!
Question (3 points) : Indice 1 (2 points) : Indice 2 (1 point) :
Question 19 : Quel film ?
Réponse : Charade, Stanley Donen, 1963.
Proposé par Mister Zob
Stanley Donen a vraiment réussi son coup avec ce classique qui mèle habilement intrigue et suspense hitchcockiens, romance et humour. Le rythme est soutenu, le casting est aux petits oignons (Audrey est resplendissante....), le tout est un vrai bonheur de cinéma.
Question (3 points) : Indice 1 (2 points) : Indice 2 (1 point) :
Question 20 : Quel film ?
Réponse : Boulevard du crépuscule (Sunset Blvd.), Billy Wilder, 1950.
Proposé par Fred Loukass
Un grand classique ! On ne le présente plus, on ne le juge pas, c'est intouchable !
Question (3 points) : Indice 1 (2 points) : Indice 2 (1 point) :


Scores
1Buñuel se escribe con Ñ43
2Les Idiots fondue ski40
3La Ligue des Gentlemen au clair de lune37
4Sissi & the Atomic Asian Rollmops35
5Gray Men32
6Mi nombre es Legión31
7Les Valseuses29
8Pétunia la reine du cinéma et ses lapins nains26
9Ga Bu Zo Meu24
9Loose Team24
11ÉLiasz_22
12Hache et Fer18
13meaT CAB16
14Akatowek15
15Vincent Lefèvre13
16Rox et Rookies12
17Sherry & Chase (ex - Team ABC)9
18Carlito Brigante8
19Domicile Conjugal7
20Clifford6
20Filipe6
22Cyrmucha3

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Le jeu ciné FRCD - 20e édition
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